carte d'identité

Hola les Oxonian ! Je m'appelle theodore, vous pouvez m'appeler theo, mais on ne se moque pas sinon la foudre s'abattra sur vous. Je suis née un beau date de naissance au choix dans la merveilleuse ville de ville au choix en angleterre. Si vous comptez bien, j'ai aujourd'hui entre vingt-neuf et trente-et-un ans et non, je suis encore jeune ou peut-être à un âge assez avancé. Mes parents sont anglais et je suis fière de cet héritage. Si vous voulez tout savoir, je suis célibataire et ce style de vie me conviens parfaitement. En ce moment, je travaille comme à la fois stagiaire dans l'entreprise de mon père et à la fois assistant du professeur d'économie et j'ai été étudiant en commerce international. D'ailleurs, j'aimerais rejoindre les citizens, car en écoutant les rumeurs ce sont les meilleurs. Certaines personnes te diront le contraire, mais j'aime les filles. C'est dommage non ? Pour terminer notre petit entretien, je remercie (c) toxic heart et crick pour les avatars.

L'histoire de la vie

l'histoire est globalement libre, sauf je l'imagine bien d'une classe aisée. les points contenus ci-dessus et dans le lien sont non-négociables sinon pour le reste, tout est libre. n'hésitez pas à m'envoyer un mp pour poser des questions ou même pour parler pour son caractère, il doit être protecteur, doux avec clyde (comme s'il ne voulait pas la briser), possessif, jaloux, strict, déterminé à avoir ce qu'il veut, et lisez le lien pour voir aussi ce qu'on peut en dégager au niveau du caractère. (lisez ma présentation également si vous avez le courage)

toi + moi = nous

CLYDE MALROW (lucy hale) ☆ Ils se rencontrés il y a deux ans à l'occasion d'un stage de la demoiselle. Theodore était déjà stagiaire chez son père et Clyde devait prendre des photos pour son travail de fin d'année. La jeune fille devait prendre des photos du père de Theodore à son travail, et elle en a pris du jeune homme également. Clyde n'avait jamais vu quelqu'un d'aussi séduisant que l'anglais, elle n'avait vu quelqu'un comme lui. Elle n'arrivait pas à mettre un mot sur ce qu'elle ressentait et ce qu'elle lui trouvait. Claris, sa jumelle, disait que le garçon était un crush pour la brune, alors elle ne chercha pas plus de réponses, balayant ce sentiment inconnu de son être, sachant qu'elle ne le reverrait pas, et surtout, elle ne pouvait rien tenter à cause de leurs âges respectifs, ils avaient dix-neufs et vingt-sept ans (voire vingt-neuf si vous lui donnez trente et un ans.) La jeune fille espérait que rien ne s'était vu durant cette entrevue. Ses joues teintées de rouge, le fait qu'elle joue avec ses doigts (signe de nervosité chez elle) et ses regards. Effectivement, personne n'avait remarqué, sauf lui. Il avait remarqué ses regards et l'avait lui-même détaillé, discrètement. Il avait remarqué un autre signe de nervosité chez elle : le fait de remettre une mèche de cheveux derrière son oreille. Il avait vu beaucoup de détails, il l'avait bien observé, il n'avait vu qu'elle pendant ces quelques heures. Cette fille, si jeune, l'intriguait énormément et il avait envie de découvrir qui était cette jeune fille dont il ignorait le prénom. Ce soir même, il avait rêvé d'elle, il avait rêvé de pouvoir la toucher et la découvrir, de la revoir en somme. Ce n'est qu'un an après que son souhait fut réalisé, quand il avait perdu espoir et qu'elle l'avait oublié. C'était un soir de décembre, Clyde marchait dans le noir, ses cours avaient tardés, elle était exceptionnellement sortie à vingt heures. Elle serrait son sac, nerveuse, elle n'avait pas l'habitude de sortir à cette heure là, seule, dans une ruelle. Elle sentit qu'on la suivait. Elle se disait qu'elle était paranoïaque et continua de marcher, mais elle avait raison. Un homme la suivait, et il se manifesta assez rapidement. Il la rattrapa et la poussa contre le mur. Il la maintenait contre le mur et parcourait son corps avec ses mains. Clyde hurlait comme elle n'avait jamais hurlé, elle tentait tout pour lui échapper. Il avait réussi à enlever son haut, l'air frais frappait son corps fragile. Les larmes coulaient à flots sur ses joues, elle ne ressentait que du dégoût et de la peur. Elle réussit à le frapper dans ses parties et se dégager. La brune prit son haut et son sac pour s'enfuir, mais il la rattrapa de nouveau et la frappa violemment. Sous le choc, elle tomba sur le sol pavé, ses larmes redoublèrent. Mais un homme arriva avant qu'il puisse la toucher de nouveau. Il le frappa sans ménagement. Clyde recula jusqu'au mur et se recroquevilla en tenant son haut, elle avait laissé son sac là où elle était tombé. L'inconnu assomma son agresseur et s'approcha d'elle, sa tête était cachée sous ses bras, la peur ne la quittait pas. Une main se posa sur son bras, une main qui se voulait rassurante. Elle leva alors les yeux et croisa le regard de l'homme qu'elle avait rencontré un an avant : Theodore. Il se rappellera toujours de son regard perdu, suppliant, effrayé. Il caressa doucement son bras pour la mettre en confiance, mais elle était tellement apeurée qu'elle se jetterait dans les bras de n'importe qui qu'elle connaissait, même s'ils ne se sont jamais parlé. Il alla chercher le sac de la jeune fille et lui tendit. Il prit ensuite son haut pour le lui remettre et la porta comme une princesse pour la ramener chez lui. Tout ira bien. Theodore lui avait chuchoté ça dans l'oreille. Ce soir là, il prit soin d'elle, il l'emmena chez lui, il la laissa se doucher dans sa salle de bain, il lui avait prêté des vêtements, il l'avait laissée dormir dans son lit, dormant lui-même sur le canapé. Ce soir là, quand il l'avait vue dans cette ruelle, il avait l'impression que sa vie se jouait, qu'il se sentait pousser des ailes pour la sauver. Le lendemain, elle alla à sa rencontre dans le salon, vêtue d'un T-Shirt et d'un jogging, et le regarda examiner ses mains. Il était blessé aux phalanges. Elle s'était assise près de lui, puis s'excusa plusieurs fois tandis qu'il ne disait rien, et elle rentra chez elle, quelques instants après, en le remerciant plusieurs fois avant de partir. Il ne regrettait pas ce qu'il avait fait la veille, et il avait commencé à la connaître, il savait que c'était une fille fragile, et il refusait, au fond de lui, que quelqu'un ose la briser, la rendre plus faible qu'elle ne l'est déjà. C'était un sentiment étrange qui l'animait et il ne savait pas quel mot placer sur ce sentiment, mais au fond, c'était un homme bien plus âgé qu'elle, et ce sentiment ne devait pas empiéter sur sa vie, il ne pourrait jamais la surveiller pour mieux la protéger. il se disait que la vie était cruelle de les avoir fait naître à un intervalle si grand pour lui. C'était ainsi et il devait s'y faire. Quant à elle, elle maudissait encore plus la vie que lui le faisait. Il l'avait sauvée, portée, protégée, aidée, il avait pris soin d'elle comme si elle était une poupée de porcelaine. Elle aussi était animée par ce sentiment bien étrange, mais qu'était-ce ? Ils l'ignoraient. Après cet évènement, ils avaient eu l'occasion de se croiser plusieurs fois dans la rue, dans des soirées et se sont parlés sans plus, savant qu'il n'y aurait rien entre eux à cause de cette foutue différence d'âge et maintenant qu'il l'avait croisée à oxford, c'était encore plus difficile. Qui osera le premier pas ?